Parmi les festivals qui nous accueillent, l’un d’eux  porte un esprit tout particulier: le Rêve de l’Aborigène, à Airvault dans les Deux-Sèvres.

Pendant trois jours, ce festival me charme par sa magie. J’y vais depuis plusieurs années, soit en tant que bénévole, ou animatrice de l’espace enfant, et même festivalière. Désormais, c’est en tant que crieuse de rue, et conteuse que je m’y installe depuis deux ans.

Et quel plaisir.

Avec mon compagnon conteur, nous avons offert cette année plus de 10 heures de contes, au moins 4 heures de criée publique, et deux heures d’ateliers contes. Une belle performance pour nous et pour le public. Car lui aussi à  endossé son rôle avec merveille.

Le dimanche, la criée à été tout particulièrement exceptionnelle, comme l’atteste les photos qui suivent.

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